A bord du porte-conteneurs "CMA CGM Nabucco" entre Shanghai et Xiamen - Ma-Tvideo France2
Nous avions rendez-vous au bout d’un pont. Un pont interminable, flambant neuf de 32 kilomètres de long. C’est là, au milieu des énormes grues du terminal de Yang shan, le nouveau port de Shanghai, que nous attendait le NABUCCO, un porte-conteneurs géant.
350 m de longueur, plus de 8000 "boites" à bord et un équipage d’une vingtaine de marins.
Le long voyage de retour vers l’Europe commençait.
21 jours pour partager le quotidien des officiers français, mais aussi celui des marins roumains embarqués. Un monde complexe, terriblement exigeant, mais où les hommes et les femmes finissent par se livrer. Solitude, interprétation d’un monde en pleine expansion, réflexion sur le monde maritime, tous trouveront le temps de se confier.
Ainsi Marie Guillou, le second capitaine du Nabucco. Elle est partout. Sur le quai, sur le pont, en passerelle.
Nous avions rendez-vous au bout d’un pont. Un pont interminable, flambant neuf de 32 kilomètres de long. C’est là, au milieu des énormes grues du terminal de Yang shan, le nouveau port de Shanghai, que nous attendait le NABUCCO, un porte-conteneurs géant.
350 m de longueur, plus de 8000 "boites" à bord et un équipage d’une vingtaine de marins.
Le long voyage de retour vers l’Europe commençait.
21 jours pour partager le quotidien des officiers français, mais aussi celui des marins roumains embarqués. Un monde complexe, terriblement exigeant, mais où les hommes et les femmes finissent par se livrer. Solitude, interprétation d’un monde en pleine expansion, réflexion sur le monde maritime, tous trouveront le temps de se confier.
Ainsi Marie Guillou, le second capitaine du Nabucco. Elle est partout. Sur le quai, sur le pont, en passerelle.
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